Un grand merci à la resplendissante Zigounette et au prince consort (surnommé par de méchantes langues "Jamais sans ma merguez") de confirmer la thèse de Blanrue dans Jean-Marie, Marine et les juifs (À COMMANDER ICI).
À ceci près qu'être "antisémite", pour ces messieurs-dames, signifie ne pas
plier le genou devant les dogmes imposés par un État étranger et n'accorder qu'un intérêt relatif aux oukases de ses officines
infiltrées sur le territoire national. C'est une nuance, certes (certains diraient un détail), mais une nuance qui change du tout au tout la compréhension de la situation.
"En d’autres termes, le
FN se débarrasse de Jean-Marie Le Pen pour ses multiples provocations à
caractère antisémite. La « dédiabolisation du FN ne porte que sur
l'antisémitisme » m'expliquait en 2013 Louis Aliot. Le vice-président du
parti continuait ainsi : « En
distribuant des tracts dans la rue, le seul plafond de verre que je
voyais ce n'était pas l'immigration ni l’islam... D'autres sont pires
que nous sur ces sujets-là. C'est l'antisémitisme qui empêche les gens
de voter pour nous. Il n'y a que cela. À partir du moment où vous faites
sauter ce verrou idéologique, vous libérez le reste. (...) Depuis que
je la connais, Marine Le Pen est d'accord avec cela. Elle ne comprenait
pas pourquoi et comment son père et les autres ne voyaient pas que
c'était le verrou. Elle aussi avait une vie à l’extérieur, des amis qui
étaient aux antipodes sur ces questions-là des Le Gallou et autres.
C'est la chose à faire sauter »."