BLOG DES AMIS DE PAUL-ÉRIC BLANRUE --- ARCHIVES, ACTUALITÉS, PROSPECTIVES --- DÉMYSTIFICATION ET CONTRE-HISTOIRE

dimanche 31 juillet 2016

"La France maçonnique" de Paul-Éric Blanrue et Julien Teil : un film unique et sans tabou ! Avec Emmanuel Ratier, Dieudonné, Jean-Yves Le Gallou, Jean Solis, Stéphane Blet, Pierre Hillard et Jean-Pierre Servel, Grand maître de la Grande loge nationale française.

Première partie mise gracieusement à la disposition du public


Le DVD est disponible au prix de 15 € auprès d’Amazon à l’adresse suivante : LIEN 


En streaming (location à 4,90 € ou téléchargeable 8,90 € ) à cette adresse : LIEN


"Jeu de pistes, tempo équilibré, subtilement scandé, entretiens denses et pénétrants, aucun sectarisme...

(Claude Bourrinet, Boulevard Voltaire) 


"Ce documentaire, habilement tissé d’un va-et-vient entre le narrateur, les membres actuels et anciens de la franc-maçonnerie, et autres intervenants, reflète tout le mystère entourant l’organisation.

(Julie Lévesque,  Mondialisation.ca)


"Unique en son genre, le documentaire de Paul-Eric Blanrue et Julien Teil nous plonge au cœur d’une des organisations les plus mystérieuses de la République.
(Agence Info libre)

"Sortir des fantasmes, explorer les faits, et donner la parole aussi bien à des initiés qu’à leur détracteurs dans un souci d’objectivité est la méthode retenue dans cette quête de vérité. " (Baptiste Mannaia, Cercle des Volontaires)

"Beaucoup de critiques de tous les c... qui parlent sans l'avoir vu !
(Jean Solis, éditeur, auteur)

"Les différents contributeurs de ce documentaire évoquent, avec force détails pour certains, son influence considérable dans toutes les sphères de la société française. " 
(Henry Bordier, Polémia)

"Très bien fait et instructif ! 
(Jean-Yves Le Gallou, fondateur de Polémia)


Photo du DVD par Stéphanie Flamme, qui a en a très bien saisi l'esprit

lundi 27 juin 2016

Paul-Éric Blanrue : ce que Wikipédia ne vous dit pas ! Une notice biographique factuelle.



À noter que contrairement à ce qu'affirme Wikipédia, Paul-Éric Blanrue n'est pas un nom de convenance, mais bel et bien le prénom composé et le nom de l'intéressé tels qu'ils apparaissent dans sa fiche d'état civil (on a compté jusqu'à 17 erreurs factuelles dans la page que lui consacre cette "encyclopédie libre" qui ressemble davantage à une fiche de police politique qu'à une notice biographique digne de ce nom). 
"Paul Blanrue, dit Paul-Éric Blanrue" : Wikipédia, l'encyclopédie virtuelle bidon

Né le 18 avril 1967 à Metz (Moselle, France), l'historien et essayiste Paul-Éric Blanrue est spécialisé dans la détection des mystifications. Son objectif est de participer à la formation d'une capacité d'appropriation critique du savoir humain. 
Son mémoire de maîtrise d’histoire est consacré au Père Bole, le confesseur du comte de Chambord, Henri V, dont il a exhumé la correspondance aux archives des jésuites de Vanves. Ce travail fait l'objet de son premier livre, préfacé par le baron Hervé Pinoteau, vice-président de l'Académie internationale d'héraldique.
Son service militaire est accompli en 1990-1991 à l'État-major de la Force aérienne tactique (FATAC).
Après 10 ans d'expériences politiques qui l'ont conduit à devenir le plus jeune membre du Secrétariat du Prince Alphonse, Chef de la Maison de Bourbon et aîné des Capétiens, un poste lui ayant permis de démystifier abondamment la Révolution française et d’enquêter sur la mort de Louis XVII, Paul-Éric Blanrue fonde en 1993 le Cercle zététique, association sceptique à but non lucratif se proposant « d'enquêter avec méthode sur tous les sujets relevant de l'extraordinaire tant en science qu'en histoire ». Il en est le président durant dix ans, jusqu’en 2004. ll est aussi, jusqu'à cette date, le directeur de publication des Cahiers zététiques, puis d'Enquêtes Z.
Durant deux ans, il gère le Prix Défi zététique international lancé par le Pr. Henri Broch, l’illusionniste Gérard Majax et Jacques L. Theodor, qui se présente comme un appel à preuve pour les détenteurs de « pouvoirs psi ».
Le 11 août 1999, il organise à Paris un « Apéro des survivants », rassemblant quelque 500 personnes et des journalistes du monde entier, destiné à se moquer des prédictions du couturier Paco Rabanne, qui a annoncé pour cette date la chute de la station Mir sur la capitale française.
En 2004, il dévoile les « trucs » de l'illusionniste canadien Gary Kurtz, dont les émissions laissent croire au public qu’il possède des dons paranormaux.

L’affaire du Suaire de Turin

En 2005, au Muséum d’histoire naturelle de Paris et sous l’égide du mensuel Science&Vie, Paul-Éric réalise une réplique exacte de la tête de « l’homme du Suaire de Turin », auquel il a consacré deux livres d’enquête, avec pour seuls moyens ceux de l'époque médiévale, démontrant que la relique n’est pas d’origine miraculeuse.
Deux éminents spécialistes de la démystification ont rejoint ses conclusions : le professeur Henri Broch, professeur de physique à l'Université de Nice, membre de l'Académie des Sciences de New York et Gérald Messadié, auteur du best-seller L'Homme qui devint Dieu (Robert Laffont, 1988), ancien rédacteur en chef du mensuel scientifique Science&Vie. Broch écrit que Blanrue « fait le tour de la question ». Gérald Messadié, dans "Le suaire de Turin et autres reliques", Réalités et mystifications du paranormal, L'Archipel, février 2015, écrit :  « L'historique des divers linges ayant prétendument enveloppé le corps de Jésus a été minutieusement établi par l'historien Paul-Éric Blanrue.... Comme le révèle Blanrue, on ne trouve pas sur cette image les nuances ordinaires... La conclusion est que le paranormal est intégralement absent du Suaire de Turin : on ne le trouve que dans l'esprit de ceux qui s'obstinent à y croire... Le dossier technique étant considérablement plus détaillé et complexe, nous renverrons le lecteur aux deux ouvrages de Paul-Éric Blanrue, Miracle ou imposture, etc. »
Le Monde du 4 juin 2005 a titré, dans sa rubrique Sciences : « La recette du suaire de Turin livrée par les zététiciens. » Un article d’Hervé Morin y décrivait la « cérémonie iconoclaste » qui s’était déroulée trois jours plus tôt au Muséum national d’histoire naturelle et au cours de laquelle le secret de fabrication d’un suaire identique à celui de Turin était explicité : « Une recette à la portée “d’une ménagère de moins de 50 ans.”, mais aussi “d’un faussaire du Moyen Age”. Prenez un bas-relief en plâtre, que vous recouvrez d’une étoffe de lin humide pour épouser les contours du visage. Tamponnez le tout avec un mélange d’oxyde ferrique et de gélatine, des produits connus des peintres médiévaux – et dont la trace a été retrouvée sur le suaire. Ajoutez quelques coulures vermillons pour figurer le sang. Laissez sécher. Déployez. Faites adorer. »
Un dossier de 14 pages établi par Isabelle Bourdial a repris les conclusions de Blanrue, avec son concours (Science&Vie, n°1054, juillet 2005), ainsi que le magazine Historia (n°718, octobre 2006) qui a demandé à Blanrue de rédiger un long article sur le sujet. 
Le journal de 13 heures de France 2 du 22 juin 2005 a consacré un reportage à l’expértience de Blanrue ; le 25 juin, le journal de 13h de TF1 interviewe Blanrue en train de façonner des faux suaires.  Le 11 mars 2007, Blanrue est invité dans l'émission La foi prise au mot, sur la chaîne catholique KTO (52 mn), pour livrer le fruit de ses recherches. Paul Wermus l'invite sur France 3 pour débattre face à Daniel Raffard de Brienne, président du Centre international d'études sur le Linceul de Turin. Le 4 octobre 2006, Blanrue est également invité par Stéphane Bern à participer à l'émission L'Arène de France (France 2) pour évoquer son dernier ouvrage portant sur le Suaire.
Durant sa présidence du CZ, Paul-Éric visite plus de quarante lieux réputés « hantés », dont il fournit l’explication naturelle, y compris sous l’œil des caméras (D'un monde à l'autre de Paul Amar).
Lorsqu’il quitte le CZ, Paul-Éric déclare vouloir s’attaquer à des mythes et légendes plus en rapport avec notre époque, comme il l'avait fait dans son Bulletin lorrain d'information légitimiste à l'occasion du Millénaire capétien (1987).
Il dévoile les dessous du Prix Goncourt de Jonathan Littell, Les Bienveillantes ; pointe, avec l’ancien rédacteur en chef adjoint à Paris-Match, Chris Laffaille, le brusque changement de régime politique que provoque le mariage entre Nicolas Sarkozy et la jet-setteuse Carla Bruni (avec 25 000 exemplaires vendus, leur livre est durant quinze jours dans la liste de best-sellers de L'Express) ; les deux investigateurs démontrent également les raisons pour lesquelles le trader Jérôme Kerviel n’est que l'un des symptômes du capitalisme financier, annonçant la crise des subprimes six mois avant qu’elle ne se produise (On n'a pas tout dit de Laurent Ruquier).
Le livre Le Monde contre soi - Anthologie des propos contre les Juifs, le judaïsme et le sionisme (éditions Blanche, Paris, 2007, préface de Yann Moix) met en perspective les déclarations jugées antisémites de plus de 500 célébrités. Cet ouvrage a eu l'étrange pouvoir de lui décrocher une invitation au salon des écrivains du B'nai B'rith et de valoir à l'un de ses éditeurs amateurs un procès sur plainte de la Licra qui fut déboutée en appel.

L’affaire Sarkozy, Israël et les juifs

Deux ans plus tard, Sarkozy, Israël et les Juifs (Oser dire, 2009), qui se présente comme le pendant français de l’ouvrage Le Lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine de Mearsheimer et Walt, a pour objectif de participer à la prise de conscience du danger que représente la nouvelle politique étrangère française à l'égard d'Israël.
Tous les éditeurs français auquel le projet est soumis refusent l’ouvrage. Paul-Éric trouve alors éditeur en Belgique, en la personne de Marco Pietteur. Toutefois le diffuseur en France de celui-ci refuse de placer l’ouvrage en librairies. Son avocat dénonce une « censure par le vide ». Le livre est diffusé en France pendant six mois par correspondance jusqu'à ce qu’il finisse par trouver un diffuseur et soit mis en vente normalement. Le livre se vend à plus de 20 000 exemplaires et bénéficie à ce jour de trois éditions corrigées et augmentées.
Alain Gresh fait une recension de l'ouvrage dans le blog du Monde diplomatique dont la conclusion est : « Un livre qui mérite le débat, et non un interdit de fait ». L'opus reçoit le soutien de nombreux enquêteurs indépendants, comme les journalistes Michel Collon ou Jean-Guy Allard, chroniqueur au quotidien cubain Granma. « Ce livre devrait être diffusé, non seulement par les amis de la Palestine, mais par tous les amis d'une France indépendante et souveraine », écrit le Pr. Jean Bricmont, physicien et essayiste. Pour Roger Briottet, ancien universitaire, consultant juridique aux Nations unies et pour l'Union européenne : « Blanrue dit avec clarté et preuves à l'appui ce qu'on a trop souvent tendance à cacher sur les relations entre la France et l'État d'Israël ». Pour le journaliste belge Olivier Mukuna : « Ce livre brillant et mesuré récuse l'assimilation fallacieuse entre judaïsme et sionisme. » Pour le réalisateur Frank Barat, il s'agit d'un livre « très intéressant, instructif, accablant et quelque peu visionnaire. En un mot : important. »
Aucun grand média français n’en fait toutefois mention, à l’inverse de la presse arabo-musulmane, qui interviewe l’auteur sans préjugé. Le vendredi 19 février 2010, la chaîne Al Jazeera consacre un grand débat d'une heure à la question «Le lobby juif en France : entre réalité et fiction », s'appuyant sur un entretien antérieur avec Paul-Éric.
Ce livre est traduit en arabe et en persan.

L’affaire de la pétition contre la loi Gayssot

Le 6 août 2010, il lance une pétition en ligne contre la loi Gayssot, à laquelle il joint comme revendication la libération du révisionniste Vincent Reynouard, condamné à un an de prison ferme et incarcéré à la maison d’arrêt de Valenciennes pour avoir écrit une brochure illégale de 16 pages.
Cette pétition reçoit notamment le soutien du professeur Jean Bricmont, physicien à l’université de Louvain et essayiste belge, de Normand Baillargeon, professeur en sciences de l'éducation à l'Université du Québec à Montréal, de Robert Ménard, président de Reporter sans frontières, de Dominique Jamet, journaliste, écrivain, ancien président de la Bibliothèque de France, de Max Cabantous, maître de conférences honoraire à l’université de Montpellier III, de Marc Rousset, Prix de l’Académie des sciences morales et politiques, de Jean-Claude Manifacier, professeur, Université des Sciences de Montpellier, de Jean Desclin, professeur honoraire à la Faculté de Médecine de l’Université Libre de Bruxelles, de Pietro Corvaja, mathématicien, professeur à l’Université de Udine, et encore de Steve Wozniak, mythique cofondateur d’Apple avec Steve Jobs.
Le 5 septembre 2010, l'intellectuel américain Noam Chomsky soutient sa pétition en ces termes : « J'apprends que Vincent Reynouard a été condamné et mis en prison au nom de la loi Gayssot et qu'une pétition circule pour protester contre ces mesures. Je ne connais rien à propos de Monsieur Reynouard, mais je considère la loi Gayssot comme complètement illégitime et en contradiction avec les principes d'une société libre, tels qu'ils ont été compris depuis les Lumières. Cette loi a pour effet d'accorder à l'État le droit de déterminer la vérité historique et de punir ceux qui s'écartent de ses décrets, ce qui est un principe qui nous rappelle les jours les plus sombres du stalinisme et du nazisme. (…) Par conséquent, je souhaite exprimer mon soutien à la pétition contre l'application de cette loi dans le cas de Monsieur Reynouard (ou dans tout autre cas). »
En 2011 est diffusé sur internet, sous licence giveaway (libre de droit), un documentaire d'1h30 consacré au Pr. Faurisson, intitulé : Un homme - Robert Faurisson répond aux questions de Paul-Éric Blanrue. Ce film, s’incrivant dans la lignée des Archives du XXe siècle de l’INA, lui vaut un procès de la Licra, qu'il gagne en septembre 2015 (annulation de la procédure). Le parquet ayant fait appel, la Cour a confirmé, le 19 mai 2016, le jugement de première instance, annulant citations et poursuites.
En octobre 2014, Blanrue publie un livre dans lequel il montre les liens existant entre le Front national et les milieux sionistes (Jean-Marie, Marine et les juifs, Oser dire, 2014).
En septembre 2015, il écrit la préface du livre de Salim Laïbi, Le Mythomane - La Face cachée d'Alain Soral, Fiat Lux, où il explique pourquoi il est un penseur libre et n'a jamais été le moins du monde « soralien ».
Un mois plus tard, il sort la première saison de la série Apocalypse France, intitulée La France maçonnique (vente en streaming sur Viméo et en DVD), avec la participation de Emmanuel Ratier, Jean-Yves Le Gallou, Jean Solis, Jean-Pierre Servel, Dieudonné, Stéphane Blet, Pierre Hillard.
Depuis près de trente ans, Paul-Éric écrit dans de nombreuses revues, historiques ou non, françaises et étrangères, de tous bords politiques. Il a donné des articles au Nouvel Observateur, à Point de Vue, au Crapouillot, à Rivarol, à Charlie Hebdo, à L’Homme libre, à la Feuille d’information légitimiste, à Bourbons magazine, à la revue littéraire Bordel (Flammarion), à La Vérité, etc. 
De 2003 à 2013, il a été un collaborateur régulier (une quarantaine d’articles) du mensuel Historia, le plus ancien (fondé en 1909) et le plus lu des magazines d'histoire dans le monde.
Il a été consultant et scénariste pour diverses sociétés et maisons de production, comme Pathé. Comme il ne se prend pas au sérieux, il a fait, à la demande du réalisateur, un caméo déguisé en sosie d'Elvis Presley dans le film Podium de Yann Moix (2003). 
Il est remercié dans de nombreux livres dudit Yann Moix et se trouve aussi être l’un des héros du roman Pas du tout ! Je t’aime, Éditions 1 - La Marge Editions (2002), de Catherine Siguret. Divers auteurs ont conté ses aventures, comme Jérôme Noirez, Encyclopédie des fantômes et des fantasmes (Éditions de l’Oxymore, 2005).
La télévision a souvent eu recours à ses services. L'ont invité : Tout le monde en parle de Thierry Ardisson, On ne peut pas plaire à tout le monde de Marc-Olivier Fogiel, Comme un lundi et Ciel mon mardi de Christophe Dechavanne, J’y crois, j’y crois pas de Tina Kieffer, Cactus and Co et Piques et polémiques de Paul Wermus, C'est l'heure de Jean-Luc Delarue, Pourquoi ? Comment ? de Sylvain Augier, la série Les grandes arnaques pour la télévision québécoise, le documentaire Capricorne ascendant sceptique pour la chaîne Planète, L'Arène de France et Secrets d'Histoire de Stéphane Bern, La foi prise au mot sur la chaîne catholique KTO, C dans l’air de Yves Calvi, etc.
En 1999, Charlie Hebdo l'a décrit comme « président d'un joyeux groupe de scientifiques, d'illusionnistes et d'historiens qui ridiculise les voyants de tout poil ». La psychanalyste Élisabeth Roudinesco l'a défini comme « plus chomskyen que Chomsky ». L'historienne Valérie Igounet l'a qualifié d' « idéologue de la nouvelle vague ». Le critique littéraire Arnaud Viviant a salué un de ses ouvrages comme « nécessaire » tandis qu'Éric Naulleau le considère comme « impressionnant dans la folie totale ». Le journaliste Laurent Telo, dans Le Monde,  l'a déclaré « censuré à perpétuité ». Le pamphlétaire Marc-Édouard Nabe l'a traité d' « ourang-outan » et de « gros pédé ». Florian Philippot a déclaré chez Laurent Ruquier qu'un de ses livres était « épouvantable ». Le physicien Jean Bricmont a remarqué que son travail posait un « sérieux problème aux censeurs ». L'économiste Étienne Chouard a noté que « défendre le point de vue de Blanrue aujourd'hui c'est exactement courageux dans cette ambiance de merde ».
Comme complices en pensée, Blanrue cite pêle-mêle Voltaire, Arthur Schopenhauer, Friedrich Nietzsche, Frédéric Bastiat, René Guénon, Julius Evola, Charles Maurras, Martin Heidegger, Arnaud Desjardins, Ludwig von Mises, Murray Rothbard, Hans-Hermann Hoppe.  Il s'intéresse au soufisme, à la mystique rhénane, au Tao, aux Upanishad, au bouddhisme mahāyāna et aux sociétés traditionnelles.
Son casier judiciaire est vierge.
Paul-Éric Blanrue partage sa vie entre Paris, la Côte d'Azur et Venise.


BIBLIOGRAPHIE

Auteur principal

Lumières sur le comte de Chambord - Le témoignage inédit du Père Bole, confesseur du Prince en exil (avec une préface de Hervé Pinoteau), éditions Communication et Tradition, Paris, 1995, 247 p. (ISBN 2-911029-00-3) ;
Le Mystère du Temple - La vraie mort de Louis XVII, éditions Claire Vigne, coll. « Aux sources de l'Histoire », Paris, 1996, 364 p. (ISBN 2-84193-028-9) ;
Miracle ou imposture ? L'histoire interdite du suaire de Turin, co-édition EPO (Bruxelles) et Golias (Lyon), 1999, 271 p. + 8 p. de planches illustrées, (ISBN 2-87262-152-0) (EPO) et (ISBN 2-911453-53-0) (Golias) ;
L'Histoire dans tous ses états. Idées fausses, erreurs et mensonges d'Abraham à Kennedy, Book-e-book.com, coll. « Zététique », Valbonne, 2003, 274 p. (ISBN 2-915312-03-6) ;
Les Dessous du surnaturel - Dix ans d'enquêtes zététiques, éditions Book-e-book.com, coll. « Zététique », Valbonne, 2004, 171 p. (ISBN 2-915312-04-4) ;
Le Secret du Suaire - Autopsie d'une escroquerie, éditions Pygmalion, Paris, 2006, 235 p. + 4 p. de planches illustrées (ISBN 978-2-7564-0063-1) ;
Les Malveillantes - Enquête sur le cas Jonathan Littell, éditions Scali, Paris, 2006, 124 p. (ISBN 978-2-35012-105-5) ;
Le Monde contre soi - Anthologie des propos contre les Juifs, le judaïsme et le sionisme (avec une préface de Yann Moix), éditions Blanche, Paris, 2007, 318 p. (ISBN 978-2-7556-0156-5) ;
Sarkozy, Israël et les juifs, Éditions Oser dire (Marco Pietteur), Embourg (Belgique), 2009, 207 p. (ISBN 2-919937-12-X) - traduit en arabe et en persan.
Jean-Marie, Marine et les juifs, Éditions Oser dire (Marco Pietteur), Embourg (Belgique), 2014.
* Le Livre noir des manipulations historiques, Fiat Lux (France), 2017, 432 p.
* Nietzsche et Venise - Guide initiatique, Fiat Lux (France), 2017, 124 p.

Coauteur 

* Paul-Éric Blanrue et Chris Laffaille, Carla et Nicolas - Chronique d'une liaison dangereuse, éditions Scali, Paris, 2008, 155 p. (ISBN 978-2-35012-234-2) - traduit en portugais ;
* Paul-Éric Blanrue et Chris Laffaille, Le Joueur - Jérôme Kerviel, seul contre tous, éditions Scali, Paris, 2008, 150 p. (ISBN 978-2-35012-247-2).

Préfacier et éditeur scientifique

Souvenirs de Marie-Thérèse de France, duchesse d'Angoulême : 5 octobre 1789-8 juin 1795 (établissement du texte, préface et notes de Paul-Éric Blanrue), éditions Communication et Tradition, coll. « Archives des Bourbons » n°6, Paris, 1997, 120 p. (ISBN 2-911029-11-9) ;

Préfacier

* Salim Laïbi, Le Mythomane - La Face cachée d'Alain Soral, Fiat Lux, 2015 ;

Postfacier

* Gabriel et Pierre Domenech (avec une postface de Paul-Éric Blanrue), Dominici : et si c'était bien lui ?, Presses du Midi, Toulon, 2004, 616 p. (ISBN 2-87867-543-6) ;

Collaborateur

* Chris Laffaille (en collaboration avec Paul-Éric Blanrue), Diana : l'enquête jamais publiée, éditions Scali, Paris, 2007, 274 p. (ISBN 978-2-35012-163-5) ;
* Chris Laffaille (en collaboration avec Paul-Éric Blanrue), Aux Portes de l'enfer - L'inavouable vérité sur le juge Borrel, éditions Scali, Paris, 2008, 334 p. (ISBN 978-2-35012-203-8) ;
Minko Balkanski, Sofia-Paris, un aller simple (avec la collaboration de Paul-Éric Blanrue, un avant-propos de Julu Jelev et une préface de Dimitri Panitza), éditions Scali, Paris, 2007, 223 p. (ISBN 978-2-35012-121-5) ;

Œuvres collectives

(Collectif) L'Affaire Zannini (l'ouvrage comportait un bandeau rouge : « Tout sur le roman de Marc-Édouard Nabe »), éditions du Rocher, Monaco et Paris, 2003, 256 p. (ISBN 2-268-04596-X) ;
(sous la direction de Michel Collon, Aurore Van Opstal, Abdellah Boudami), Israël, parlons-en !, Investig'Action-Couleurs livres, Bruxelles, avril 2010, 348 p. Entretiens avec Noam Chomsky, Tariq Ramadan, Alain Gresh, Shlomo Sand, Jean Bricmont, Ilan Pappe, Michel Warschawski, Ilan Halevi, Paul-Eric Blanrue, Denis Sieffert, Christina Zacharia, Naseer Aruri, Virginia Tilley, Samia Botmeh, Ahmed Frassini, Hanan Wakeem, Saleem Albeik, Mohamed Al Hawajri... ;
(présenté par Philippe Delorme et François Billaut),Secrets historiques et grandes énigmes (« Un siècle de sindonologie », p. 82 ; « Jeanne d'Arc était-elle une bâtarde d'Isabeau de Bavière ? », p. 110), Point de vue - Express Roularta Éditions, Paris, juin 2010. Republié chez Omnibus, collection de poche bibliomnibus en collaboration avec L'DExpress, octobre 2014. 
(collectif) Les Grandes énigmes de l'archéologie, Sophia Publications Historia, juin 2013.

FILMOGRAPHIE

* Un Homme - Robert Faurisson répond aux questions de Paul-Éric Blanrue, documentaire d'1h30 diffusé sur le Web en 2011. 
* Rwanda, 20 ans après. Avec Julien Teil. 2014.
* La France maçonnique (Apocalypse France, saison 1). Avec Julien Teil. 2015.



jeudi 19 mai 2016

PROCÈS EN APPEL CONTRE LE DOCUMENTAIRE "UN HOMME" : VICTOIRE ! La cour a retenu les arguments (nullité de la procédure) de l'avocat de Blanrue, le génial et héroïque M° Paul Yon, et non ceux du verbeux soralien Damien Viguier ("bonne foi" de Faurisson et autres calembredaines).





Mensonge en action : 
fidèles à leur méthode, les soraliens (race en voie d'extinction) "oublient" de signaler que Blanrue été relaxé et ne citent pas le nom de son avocat grâce à qui le procès a été gagné, M° Paul Yon : LIEN

Certes, le petit Viguier, conseiller d'Alain Bonnet, dit Soral, n'a rien fait pour !

On en profite pour rappeler :

1° que le petit Viguier a refusé de défendre Blanrue dans ce procès.


2° que ce "grand défenseur de la liberté" n'a pas signé la pétition contre la loi Gayssot.

3° que le site Égalité et Tartine au beurre, qui joue les fiers à 
bras, n'a pas eu le courage de diffuser "Un Homme" à sa sortie.

4° que ce procès ayant été gagné sur les seuls arguments de M° Paul Yon, il est désormais prouvé par les faits que Blanrue a eu mille fois raison de ne pas participer à la mascarade gambergée en appel par le petit Viguier (qui, lui aussi, aurait mieux fait de rester à la maison).


5° tout ce qu'aura gagné Faurisson en voulant jouer au mariole avec de plus marioles que lui, c'est d'apparaître désormais comme un faux témoin (les vidéos dans lesquelles il ment effrontément sur Blanrue tournent encore sur ER-TV, un mois après ses excuses privées).

samedi 23 avril 2016

Affaire Uri Geller. Faurisson à Blanrue : "Je vous présente mes excuses les plus sincères".

Mail reçu ce jour à 14h59. 
De Robert Faurisson à Paul-Éric Blanrue.
Titre : "Je vous présente mes excuses les plus sincères".


"Cher PEB,

Je vous ai accusé d'avoir, le 16 juin 2015 et en deux heures d'interrogatoire  par la présidente, omis de dire à cette dernière que vous ne m'aviez "jamais surpris en flagrant  délit de fraude ou de mensonge" (votre formule en une ou en plusieurs autres circonstances).

Or vous m'apportez aujourd'hui la preuve que vous aviez bel et bien  prononcé à mon sujet les mots suivants : " [avec deux autres personnes] nous n'avons pas réussi à le démythifier, je ne l'ai jamais pris en flagrant délit de mensonge".

Donc, loin de simplement citer mon nom à côté de celui d'Uri Geller, vous m'aviez  distingué de cet escroc.

Je vous en donne acte et je vous en remercie mais, honteux et confus de mon manque d'attention lors de cette épuisante journée, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses les plus sincères. 

Robert Faurisson, le 23 avril 2016

Copie à tous mes correspondants" 

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Commentaires du Clan : 

1° Les excuses de Faurisson à Blanrue sont la moindre des choses. Ne pouvant plus nier, le professeur ne pouvait agir autrement.
2° Il s'agirait maintenant de faire enlever du Net ce scandaleux mensonge (oui, c'est un mensonge, car une chose dite un mois après les événements n'est pas prononcée sous le coup de la fatigue de l'instant comme tente de le faire accroire Faurisson) qui porte atteinte à l'honneur de Paul-Éric Blanrue. 
3° Il faudrait également dire publiquement, dans une vidéo ayant une audience semblable à la précédente, la mensongère, que Blanrue n'a jamais eu "la trouille" de parler franchement devant la Cour. 
4° Les trucages soraliens, ça suffit  ! 
Notre combat pour la vérité continue, quoi qu'il nous en coûte, que cela plaise ou non aux donneurs de leçons, aux bonimenteurs, aux fanfarons et aux charlatans. 

"Vérité ! murmura le comte, Dieu t’a faite pour surnager au-dessus 
des flots et des flammes." 
(Alexandre Dumas, Le comte de Monte-Cristo)


LES PREUVES IRRÉFUTABLES DE L’ÉNORME MENSONGE DE FAURISSON SUR BLANRUE !

Communiqué du Cercle zététique Reboot


LES PREUVES IRRÉFUTABLES DE L’ÉNORME MENSONGE DE FAURISSON SUR BLANRUE !


"L'homme est de glace aux vérités ; il est de feu pour les mensonges"
(La Fontaine)



Le 17 mars 2016, au sortir de l’audience en appel contre le film “Un Homme” (2011), Robert Faurisson, professeur de Lettres à la retraite et pape du révisionnisme à la française, déclare devant les caméras soraliennes de ER-TV au sujet du réalisateur de ce documentaire attaqué par la Licra, l’historien Paul-Éric Blanrue :

Il (Blanrue) a osé dire : « Oui, j’ai interrogé Faurisson comme j’ai interrogé Uri Geller », qui est l’homme qui fait se déplacer par la pensée les petites cuillères. Alors, il paraît que moi, je suis un trompeur, de la même façon. Vous comprenez ? 

Faurisson fait ici référence aux prétendus propos qu’aurait tenus Blanrue, fondateur du Cercle zététique (un organisme luttant contre les charlatans du paranormal dans les années 90), lors de la tenue de la première instance, le 16 juin 2015.

Quant à Uri Geller, c'est un illusionniste d’origine israélienne qui prétend tordre les cuillères et autres métaux par la seule force de sa pensée. Il a été démystifié par le magicien sceptique Gérard Majax et le Cercle zététique de Blanrue.

Uri Geller
Écoutons Faurisson répandre tranquillement ses accusations.


Si l’on en croit Faurisson, en juin 2015 Blanrue aurait ainsi déclaré à la barre que l'auteur de Mémoire en défense contre ceux qui m'accusent de falsifier l'histoire (La Vieille Taupe, 1980) était un truqueur historique comparable au truqueur parapsychologique Uri Geller.

Faurisson réitère ce grief dans un article envoyé sur sa liste de diffusion, daté du 22 avril 2016 et intitulé : “À Louis-Egoïne de Large (…) disant habiter Cochons-sur-Marne”.

Son texte se veut une cinglante réponse à un jeune homme de province, lecteur de Léon Bloy (sous la plume de l’auteur de Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne – 1905 – cette commune imaginaire désigne le lieu où Bloy demeure, Lagny-sur-Marne). Faurisson y raconte comment, selon lui, s'est déroulée la première instance.

Ayant suivi les 10 longues heures de témoignages et plaidoiries de cette audience, Louis-Egoïne de Large a affirmé dans un article accablant pour le révisionniste vichyssois avoir entendu le contraire de ce que celui-ci certifie dans la vidéo de ER-TV (lire ici la Tribune libre complète de Louis-Égoïne de Large : http://www.lelibrepenseur.org/les-mensonges-du-professeur-faux-risson/).

Nous soulignons les passages importants de la réponse faurissonienne à de Large et mettons en majuscules son acmé : 

“Il (Blanrue) va jusqu’à dire que, pour cette vidéo, il a interrogé Faurisson comme il avait interrogé Uri Geller (un charlatan israélien bien connu pour faire plier des petites cuillères par la seule force de sa pensée et par son regard).

Peut-être va-t-il, enfin, ajouter, comme il en a l’habitude QUAND IL EST AILLEURS QUE DEVANT LES JUGES, que, s’il a pris Geller en flagrant délit de mensonge, il n’a, en revanche, « jamais surpris Faurisson en flagrant délit de fraude ou de mensonge ». C’est, par exemple, ce qu’il avait fait en octobre 2011 ; voyez http://www.egaliteetreconciliation.fr/Blanrue-Je-n-ai-jamais-surpris-Faurisson-en-flagrant-delit-de-fraude-ou-de-mensonge-8460.html.

“HÉLAS, IL S’EN GARDE BIEN.

“Ce jour-là, devant ses juges, de bout en bout, mon ami PEB « a tout fait pour prendre ses distances d’avec Faurisson » : la formule n’est pas de moi mais d’un membre du barreau venu assister au procès et qui me confiera sa déception devant le comportement d’un homme qu’on imaginait moins fragile.”

Faurisson se pique d’exactitude, flatte sans vergogne sa propre méthode réputée infaillible et s’enorgueillit de son incomparable compétence dans le domaine de la critique de témoignages. Sur ces points comme sur tant d’autres, la modestie ne l’empêche pas de dormir. Hélas pour lui, trois fois hélas, l'anecdote qu’il vient de rapporter, à l'instar de son ami anonyme et membre du barreau, n’est rien d’autre qu’un ÉNORME ET VULGAIRE MENSONGE.

En voici la PREUVE DÉFINITIVE.

Définitive car émanant d’un document officiel dont l’objectivité froide est inattaquable : la note d’audience de la première instance rédigée par le greffier du Tribunal correctionnel de Paris et contresignée par la présidente.

Cette note d’audience figure dans le dossier. Il s’agit de la retranscription des propos tenus à l’audience ; une telle note, définie à l’article 453 du Code de procédure pénale, a vocation à retracer fidèlement les débats judiciaires.

Qui dit mieux ?



Voici la copie intégrale du passage incriminé par Faurisson (pp. 5 et 6).





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Malgré l’erreur orthographique du greffier confondant, pour des raisons phonétiques (ce sont les lois de l’oral, il écrit également Preyssac pour Pressac), le révisionniste Henri Roques et le président d’honneur du Cercle zététique, le professeur de biophysique théorique Henri Broch (auteur, avec le prix Nobel de physique Georges Charpak, du best-seller Devenez sorciers, devenez savants, Odile Jacob, 2003), chacun peut constater de visu ce qu’a réellement déclaré Blanrue :

“J’ai tenté de démystifier Faurisson (…) Nous n’avons PAS réussi à le démystifier, je ne l’ai JAMAIS pris en flagrant délit de mensonge”.

On le constate, Blanrue ne compare PAS Faurisson au tordeur de cuillères israélien Uri Geller.

Nulle part. À aucun moment. Pas une seule seconde. Jamais.

Mieux : Blanrue dit EXACTEMENT LE CONTRAIRE et AFFIRME qu’à l’époque, dans les années 90, il n’a PAS réussi, avec ses collègues zététiciens, à démystifier Faurisson.

Conclusion n°1 : Blanrue a bien dit ce que Faurisson lui reproche de ne pas avoir osé dire.

Conclusion n°2 : Faurisson a menti.

Et quel vilain mensonge indécent ! Un mensonge désormais avéré ! établi ! prouvé ! démontré ! attesté ! assuré ! confirmé  ! Un sale mensonge public vérifié de part en part par une source irrécusable.

Dissimulant la vérité, Faurisson a tronqué de manière éhontée le propos de Blanrue, faisant oeuvre de calomniateur, de diffamateur et de faussaire. Patatras !

Grâce à la note d’audience à laquelle Faurisson n’a pas songé à se reporter, croyant sans doute qu’elle n’existait pas (une manie ?), n’importe quel individu ayant appris à lire le français, n’importe quel esprit, fût-il le plus retors, peut aujourd’hui se rendre compte que, n’en déplaise au malhonnête Faurisson, Paul-Éric Blanrue a bel et bien prononcé la fameuse phrase qu’il est censé n’avoir pas formulée par “trouille”, et Faurisson a mystifié ses auditeurs et ses lecteurs en leur faisant croire qu’un Blanrue “fragilisé” avait agi de manière différente pour d’obscures raisons.

Cette fois-ci, Faurisson a été pris la main dans le pot à confiture, en FLAGRANT DÉLIT DE MENSONGE. Il a bidonné. Et à deux reprises, s’il vous plaît ! Une fois à la sortie de l’audience, ce qui aurait pu lui être pardonné car le vieil homme était peut-être fatigué ou emporté par l’euphorie du prétoire ; l’autre est une menterie faite à tête reposée, émise plus d’un mois après les faits, lorsqu’il rédige sa réponse furibarde à Louis-Égoïne de Large, une menterie d’autant plus impardonnable que celui qui se permet de donner à tout le monde des leçons de méthode et d’exactitude a eu le loisir de se renseigner sérieusement.

Errare humanum est, sed perseverare diabolicum

Nous vous mettons un zéro pointé, professeur !

Dans la vidéo diffusée par ER-TV, Faurisson prononce ces mots :

Alors, il paraît que moi, je suis un trompeur, de la même façon. Vous comprenez ? Peut-être que je le suis… Attention, hein, c’est pas exclu ! 

Non seulement, ainsi que Faurisson le concède avec le cynisme du roublard devant un public acquis à sa cause, il n’est pas exclu qu’il soit un trompeur, mais sa tromperie est désormais prouvée par le son et l’image, et mise en boîte pour la postérité. C’est une tromperie de première catégorie et de la pire espèce.

Par cet effronté bobard, le bluffeur Faurisson laisse évidemment planer le doute sur l’honnêteté de ses propres témoignages passés et sur le sérieux et l’objectivité de tout son travail.

Pour nous, les choses sont claires : au crépuscule de sa vie, par ce colossal mensonge aussi gros que le Generalfeldmarschall Hermann Göring au sortir d’un gueuleton arrosé, le farceur Faurisson vient d’anéantir la réputation qu’il avait acquise chez certains et a ruiné sa carrière. 

À partir d’aujourd’hui, ceux qui accorderont un crédit aveugle à ce tricheur ne pourront plus s’en prendre qu’à eux-mêmes s’ils se retrouvent désillusionnés dans quelques années, lorsque toute la lumière aura été faite sur le personnage.

Un grand merci à Maître Viguier, Alain Bonnet, dit Soral et ER-TV de Vincent Lapierre pour nous avoir (oh, bien involontairement) permis de démontrer comment Faurisson ment.

D’autres preuves irréfutables portant sur d’autres impostures faurissoniennes arrivent prochainement.

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CERCLE ZÉTÉTIQUE REBOOT

Lu et approuvé par Paul-Éric Blanrue,
Président-fondateur du Cercle zététique (1993-2003)

Nice,  le 23 avril 2016