Mail reçu ce jour à 14h59.
De Robert Faurisson à Paul-Éric Blanrue.
Titre : "Je vous présente mes excuses les plus sincères".
"Cher PEB,
Je vous ai accusé d'avoir, le 16 juin 2015 et en deux heures d'interrogatoire par la présidente, omis de dire à cette dernière que vous ne m'aviez "jamais surpris en flagrant délit de fraude ou de mensonge" (votre formule en une ou en plusieurs autres circonstances).
Or vous m'apportez aujourd'hui la preuve que vous aviez bel et bien prononcé à mon sujet les mots suivants : " [avec deux autres personnes] nous n'avons pas réussi à le démythifier, je ne l'ai jamais pris en flagrant délit de mensonge".
Donc, loin de simplement citer mon nom à côté de celui d'Uri Geller, vous m'aviez distingué de cet escroc.
Je vous en donne acte et je vous en remercie mais, honteux et confus de mon manque d'attention lors de cette épuisante journée, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses les plus sincères.
Robert Faurisson, le 23 avril 2016
Copie à tous mes correspondants"
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Commentaires du Clan :
1° Les excuses de Faurisson à Blanrue sont la moindre des choses. Ne pouvant plus nier, le professeur ne pouvait agir autrement.
2° Il s'agirait maintenant de faire enlever du Net ce scandaleux mensonge (oui, c'est un mensonge, car une chose dite un mois après les événements n'est pas prononcée sous le coup de la fatigue de l'instant comme tente de le faire accroire Faurisson) qui porte atteinte à l'honneur de Paul-Éric Blanrue.
3° Il faudrait également dire publiquement, dans une vidéo ayant une audience semblable à la précédente, la mensongère, que Blanrue n'a jamais eu "la trouille" de parler franchement devant la Cour.
4° Les trucages soraliens, ça suffit !
Notre combat pour la vérité continue, quoi qu'il nous en coûte, que cela plaise ou non aux donneurs de leçons, aux bonimenteurs, aux fanfarons et aux charlatans.
"Vérité ! murmura le comte, Dieu t’a faite pour surnager au-dessus
des flots et des flammes."
(Alexandre Dumas, Le comte de Monte-Cristo)