À noter que contrairement à ce qu'affirme Wikipédia, Paul-Éric Blanrue n'est pas un nom de convenance, mais bel et bien le prénom composé et le nom de l'intéressé tels qu'ils apparaissent dans sa fiche d'état civil (on a compté jusqu'à 17 erreurs factuelles dans la page que lui consacre cette "encyclopédie libre" qui ressemble davantage à une fiche de police politique qu'à une notice biographique digne de ce nom).
"Paul Blanrue, dit Paul-Éric Blanrue" : Wikipédia, l'encyclopédie virtuelle bidon |
Né le 18
avril 1967 à Metz (Moselle, France), l'historien et essayiste Paul-Éric Blanrue
est spécialisé dans la détection des mystifications. Son objectif est de
participer à la formation d'une capacité d'appropriation critique du savoir
humain.
Son mémoire de maîtrise d’histoire est consacré au Père Bole, le
confesseur du comte de Chambord, Henri V, dont il a exhumé la correspondance
aux archives des jésuites de Vanves. Ce travail fait l'objet de son premier
livre, préfacé par le baron Hervé Pinoteau, vice-président de l'Académie
internationale d'héraldique.
Son service militaire est accompli en 1990-1991 à l'État-major de la
Force aérienne tactique (FATAC).
Après 10 ans d'expériences politiques qui l'ont
conduit à devenir le plus jeune membre du Secrétariat du Prince Alphonse, Chef
de la Maison de Bourbon et aîné des Capétiens, un poste lui ayant permis de
démystifier abondamment la Révolution française et d’enquêter sur la mort de
Louis XVII, Paul-Éric Blanrue fonde en 1993 le Cercle zététique,
association sceptique à but non lucratif se proposant « d'enquêter avec méthode sur tous les sujets
relevant de l'extraordinaire tant en science qu'en histoire ». Il
en est le président durant dix ans, jusqu’en 2004. ll est aussi, jusqu'à cette
date, le directeur de publication des Cahiers zététiques, puis d'Enquêtes
Z.
Durant
deux ans, il gère le Prix Défi zététique international lancé par le Pr. Henri
Broch, l’illusionniste Gérard Majax et Jacques L. Theodor, qui se présente
comme un appel à preuve pour les détenteurs de « pouvoirs psi ».
Le 11 août
1999, il organise à Paris un « Apéro des survivants »,
rassemblant quelque 500 personnes et des journalistes du monde entier, destiné
à se moquer des prédictions du couturier Paco Rabanne, qui a annoncé pour cette
date la chute de la station Mir sur la capitale française.
En 2004,
il dévoile les « trucs » de l'illusionniste canadien Gary Kurtz, dont
les émissions laissent croire au public qu’il possède des dons paranormaux.
L’affaire
du Suaire de Turin
En 2005, au Muséum d’histoire naturelle de Paris et
sous l’égide du mensuel Science&Vie, Paul-Éric réalise
une réplique exacte de la tête de « l’homme du Suaire de Turin », auquel il a consacré deux livres
d’enquête, avec pour seuls moyens ceux de l'époque médiévale, démontrant que la
relique n’est pas d’origine miraculeuse.
Deux éminents spécialistes de la démystification ont rejoint ses
conclusions : le professeur Henri Broch, professeur de physique à l'Université
de Nice, membre de l'Académie des Sciences de New York et Gérald Messadié,
auteur du best-seller L'Homme qui devint Dieu (Robert Laffont, 1988), ancien rédacteur en chef du mensuel
scientifique Science&Vie. Broch écrit que Blanrue « fait le
tour de la question ». Gérald Messadié, dans "Le
suaire de Turin et autres reliques", Réalités
et mystifications du paranormal, L'Archipel, février 2015, écrit
: « L'historique des divers linges ayant prétendument enveloppé le corps de
Jésus a été minutieusement établi par l'historien Paul-Éric Blanrue.... Comme
le révèle Blanrue, on ne trouve pas sur cette image les nuances ordinaires...
La conclusion est que le paranormal est intégralement absent du Suaire de Turin
: on ne le trouve que dans l'esprit de ceux qui s'obstinent à y croire... Le
dossier technique étant considérablement plus détaillé et complexe, nous
renverrons le lecteur aux deux ouvrages de Paul-Éric Blanrue, Miracle ou
imposture, etc. »
Le Monde du 4 juin
2005 a titré, dans sa rubrique Sciences : « La recette du suaire de Turin
livrée par les zététiciens. » Un article d’Hervé Morin y décrivait la « cérémonie
iconoclaste » qui s’était déroulée trois jours plus tôt au Muséum national
d’histoire naturelle et au cours de laquelle le secret de fabrication d’un
suaire identique à celui de Turin était explicité : « Une recette à la portée “d’une ménagère de moins de 50 ans.”, mais
aussi “d’un faussaire du Moyen Age”. Prenez un bas-relief en plâtre, que vous
recouvrez d’une étoffe de lin humide pour épouser les contours du visage.
Tamponnez le tout avec un mélange d’oxyde ferrique et de gélatine, des produits
connus des peintres médiévaux – et dont la trace a été retrouvée sur le suaire.
Ajoutez quelques coulures vermillons pour figurer le sang. Laissez sécher.
Déployez. Faites adorer. »
Un dossier de 14 pages établi
par Isabelle Bourdial a repris les conclusions de Blanrue, avec son concours (Science&Vie,
n°1054, juillet 2005), ainsi que le magazine Historia (n°718, octobre
2006) qui a demandé à Blanrue de rédiger un long article sur le sujet.
Le journal de 13 heures de
France 2 du 22 juin 2005 a consacré un reportage à l’expértience de Blanrue ;
le 25 juin, le journal de 13h de TF1 interviewe Blanrue en train de façonner
des faux suaires. Le
11 mars 2007, Blanrue est invité dans l'émission La foi prise au mot, sur la chaîne catholique KTO (52 mn), pour
livrer le fruit de ses recherches. Paul Wermus l'invite sur France 3 pour
débattre face à Daniel Raffard de Brienne, président du Centre international
d'études sur le Linceul de Turin. Le 4 octobre 2006, Blanrue est également
invité par Stéphane Bern à participer à l'émission L'Arène de France (France 2) pour évoquer son dernier ouvrage
portant sur le Suaire.
Durant sa
présidence du CZ, Paul-Éric visite plus de quarante lieux réputés « hantés », dont il fournit
l’explication naturelle, y compris sous l’œil des caméras (D'un monde à
l'autre de Paul Amar).
Lorsqu’il
quitte le CZ, Paul-Éric déclare vouloir s’attaquer à des mythes et légendes plus
en rapport avec notre époque, comme il l'avait fait dans son Bulletin
lorrain d'information légitimiste à l'occasion du Millénaire capétien
(1987).
Il dévoile
les dessous du Prix Goncourt de Jonathan Littell, Les Bienveillantes ;
pointe, avec l’ancien rédacteur en chef adjoint à Paris-Match,
Chris Laffaille, le brusque changement de régime politique que provoque le
mariage entre Nicolas Sarkozy et la jet-setteuse Carla Bruni (avec 25 000
exemplaires vendus, leur livre est durant quinze jours dans la liste de
best-sellers de L'Express)
; les deux investigateurs démontrent également les raisons pour lesquelles le
trader Jérôme Kerviel n’est que l'un des symptômes du capitalisme financier,
annonçant la crise des subprimes six mois avant qu’elle ne se
produise (On n'a pas tout dit de Laurent Ruquier).
Le
livre Le Monde contre soi - Anthologie des propos contre les Juifs, le
judaïsme et le sionisme (éditions Blanche, Paris, 2007, préface
de Yann Moix) met en perspective les déclarations jugées antisémites de
plus de 500 célébrités. Cet ouvrage a eu l'étrange pouvoir de lui décrocher une
invitation au salon des écrivains du B'nai B'rith et de valoir à l'un de ses
éditeurs amateurs un procès sur plainte de la Licra qui fut déboutée en appel.
L’affaire
Sarkozy, Israël et les juifs
Deux ans
plus tard, Sarkozy, Israël et les Juifs (Oser dire, 2009), qui
se présente comme le pendant français de l’ouvrage Le Lobby
pro-israélien et la politique étrangère américaine de Mearsheimer
et Walt, a pour objectif de participer à la prise de conscience du danger que
représente la nouvelle politique étrangère française à l'égard d'Israël.
Tous les
éditeurs français auquel le projet est soumis refusent l’ouvrage. Paul-Éric
trouve alors éditeur en Belgique, en la personne de Marco Pietteur.
Toutefois le diffuseur en France de celui-ci refuse de placer l’ouvrage en
librairies. Son avocat dénonce une « censure par le vide ». Le livre est diffusé en France
pendant six mois par correspondance jusqu'à ce qu’il finisse par trouver un
diffuseur et soit mis en vente normalement. Le livre se vend à plus de 20 000
exemplaires et bénéficie à ce jour de trois éditions corrigées et augmentées.
Alain
Gresh fait une recension de l'ouvrage dans le blog du Monde
diplomatique dont la conclusion est : « Un livre qui mérite le débat, et non un interdit de fait ».
L'opus reçoit le soutien de nombreux enquêteurs indépendants, comme
les journalistes Michel Collon ou Jean-Guy Allard, chroniqueur au quotidien
cubain Granma. « Ce
livre devrait être diffusé, non seulement par les amis de la Palestine, mais
par tous les amis d'une France indépendante et souveraine », écrit
le Pr. Jean Bricmont, physicien et essayiste. Pour Roger Briottet, ancien
universitaire, consultant juridique aux Nations unies et pour l'Union
européenne : « Blanrue dit
avec clarté et preuves à l'appui ce qu'on a trop souvent tendance à cacher sur
les relations entre la France et l'État d'Israël ». Pour le
journaliste belge Olivier Mukuna : « Ce livre brillant et mesuré récuse l'assimilation fallacieuse entre
judaïsme et sionisme. » Pour le réalisateur Frank Barat, il
s'agit d'un livre « très
intéressant, instructif, accablant et quelque peu visionnaire. En un mot :
important. »
Aucun
grand média français n’en fait toutefois mention, à l’inverse de la presse
arabo-musulmane, qui interviewe l’auteur sans préjugé. Le vendredi 19 février
2010, la chaîne Al Jazeera consacre un grand débat d'une heure
à la question «Le lobby juif en France
: entre réalité et fiction », s'appuyant sur un entretien antérieur
avec Paul-Éric.
Ce livre est
traduit en arabe et en persan.
L’affaire
de la pétition contre la loi Gayssot
Le 6 août 2010,
il lance une pétition en ligne contre la loi Gayssot, à
laquelle il joint comme revendication la libération du révisionniste Vincent
Reynouard, condamné à un an de prison ferme et incarcéré à la maison d’arrêt de
Valenciennes pour avoir écrit une brochure illégale de 16 pages.
Cette
pétition reçoit notamment le soutien du
professeur Jean Bricmont, physicien à
l’université de Louvain et essayiste belge, de Normand
Baillargeon, professeur en sciences de l'éducation à l'Université du Québec à
Montréal, de Robert Ménard, président de Reporter sans frontières, de
Dominique Jamet,
journaliste, écrivain, ancien président de la Bibliothèque de France, de Max Cabantous, maître de conférences
honoraire à l’université de Montpellier III, de Marc Rousset, Prix de l’Académie des sciences morales et
politiques, de Jean-Claude Manifacier,
professeur, Université des Sciences de Montpellier, de Jean
Desclin, professeur honoraire à la Faculté de Médecine de l’Université
Libre de Bruxelles, de Pietro Corvaja,
mathématicien, professeur à l’Université de Udine, et encore de Steve Wozniak,
mythique cofondateur d’Apple avec Steve Jobs.
Le 5
septembre 2010, l'intellectuel américain Noam Chomsky soutient sa pétition en
ces termes : « J'apprends que
Vincent Reynouard a été condamné et mis en prison au nom de la loi Gayssot et
qu'une pétition circule pour protester contre ces mesures. Je ne connais rien à
propos de Monsieur Reynouard, mais je considère la loi Gayssot comme
complètement illégitime et en contradiction avec les principes d'une société
libre, tels qu'ils ont été compris depuis les Lumières. Cette loi a pour effet
d'accorder à l'État le droit de déterminer la vérité historique et de punir
ceux qui s'écartent de ses décrets, ce qui est un principe qui nous rappelle
les jours les plus sombres du stalinisme et du nazisme. (…) Par conséquent, je souhaite exprimer mon
soutien à la pétition contre l'application de cette loi dans le cas de Monsieur
Reynouard (ou dans tout autre cas). »
En 2011
est diffusé sur internet, sous licence giveaway (libre de
droit), un documentaire d'1h30 consacré au Pr. Faurisson, intitulé : Un
homme - Robert Faurisson répond aux questions de Paul-Éric Blanrue. Ce
film, s’incrivant dans la lignée des Archives du XXe siècle de l’INA, lui vaut
un procès de la Licra, qu'il gagne en septembre 2015 (annulation de la
procédure). Le parquet ayant fait appel, la Cour a confirmé, le 19 mai 2016, le
jugement de première instance, annulant citations et poursuites.
En octobre
2014, Blanrue publie un livre dans lequel il montre les liens existant entre le
Front national et les milieux sionistes (Jean-Marie, Marine et les juifs,
Oser dire, 2014).
En
septembre 2015, il écrit la préface du livre de Salim Laïbi, Le
Mythomane - La Face cachée d'Alain Soral, Fiat Lux, où il explique pourquoi
il est un penseur libre et n'a jamais été le moins du
monde « soralien ».
Un mois
plus tard, il sort la première saison de la série Apocalypse France, intitulée La France maçonnique (vente en streaming sur Viméo et en
DVD), avec la participation de Emmanuel Ratier,
Jean-Yves Le Gallou, Jean Solis, Jean-Pierre Servel, Dieudonné, Stéphane Blet,
Pierre Hillard.
Depuis près
de trente ans, Paul-Éric écrit dans de nombreuses revues, historiques ou non,
françaises et étrangères, de tous bords politiques. Il a donné des articles au Nouvel Observateur, à Point
de Vue, au Crapouillot, à Rivarol,
à Charlie Hebdo, à L’Homme libre, à la Feuille d’information légitimiste, à Bourbons magazine, à la revue littéraire Bordel (Flammarion),
à La Vérité,
etc.
De 2003 à
2013, il a été un collaborateur régulier (une quarantaine d’articles) du
mensuel Historia, le plus
ancien (fondé en 1909) et le plus lu des magazines d'histoire dans le monde.
Il a été consultant et scénariste pour diverses
sociétés et maisons de production, comme Pathé. Comme il ne se prend pas
au sérieux, il a fait, à la demande du réalisateur, un caméo déguisé en sosie
d'Elvis Presley dans le film Podium de Yann Moix (2003).
Il est remercié dans de nombreux livres dudit Yann
Moix et se trouve aussi être l’un des héros du roman Pas du tout ! Je t’aime, Éditions 1 - La Marge
Editions (2002), de Catherine Siguret. Divers auteurs ont conté
ses aventures, comme Jérôme Noirez, Encyclopédie
des fantômes et des fantasmes (Éditions de l’Oxymore, 2005).
La
télévision a souvent eu recours à ses services. L'ont invité : Tout le
monde en parle de Thierry Ardisson, On ne peut pas plaire à tout
le monde de Marc-Olivier Fogiel, Comme un lundi et Ciel
mon mardi de Christophe Dechavanne, J’y crois, j’y crois pas de
Tina Kieffer, Cactus and Co et Piques et polémiques de
Paul Wermus, C'est l'heure de Jean-Luc Delarue, Pourquoi
? Comment ? de Sylvain Augier, la série Les grandes arnaques pour
la télévision québécoise, le documentaire Capricorne ascendant
sceptique pour la chaîne Planète, L'Arène de France et Secrets
d'Histoire de Stéphane Bern, La foi prise au mot sur
la chaîne catholique KTO, C dans l’air de
Yves Calvi, etc.
En 1999, Charlie Hebdo l'a décrit comme « président d'un joyeux groupe de scientifiques, d'illusionnistes et d'historiens qui ridiculise les voyants de tout poil ». La psychanalyste Élisabeth Roudinesco l'a défini comme « plus chomskyen que Chomsky ». L'historienne Valérie Igounet l'a qualifié d' « idéologue de la nouvelle vague ». Le critique littéraire Arnaud Viviant a salué un de ses ouvrages comme « nécessaire » tandis qu'Éric Naulleau le considère comme « impressionnant dans la folie totale ». Le journaliste Laurent Telo, dans Le Monde, l'a déclaré « censuré à perpétuité ». Le pamphlétaire Marc-Édouard Nabe l'a traité d' « ourang-outan » et de « gros pédé ». Florian Philippot a déclaré chez Laurent Ruquier qu'un de ses livres était « épouvantable ». Le physicien Jean Bricmont a remarqué que son travail posait un « sérieux problème aux censeurs ». L'économiste Étienne Chouard a noté que « défendre le point de vue de Blanrue aujourd'hui c'est exactement courageux dans cette ambiance de merde ».
Comme complices
en pensée, Blanrue cite pêle-mêle Voltaire, Arthur Schopenhauer, Friedrich
Nietzsche, Frédéric Bastiat, René Guénon, Julius Evola, Charles Maurras, Martin Heidegger, Arnaud Desjardins, Ludwig von Mises, Murray Rothbard, Hans-Hermann Hoppe. Il
s'intéresse au soufisme, à la mystique rhénane, au Tao, aux Upanishad, au bouddhisme mahāyāna et aux
sociétés traditionnelles.
Son casier judiciaire est vierge.
Paul-Éric Blanrue partage sa vie entre Paris, la Côte d'Azur et Venise.
Son casier judiciaire est vierge.
Paul-Éric Blanrue partage sa vie entre Paris, la Côte d'Azur et Venise.
BIBLIOGRAPHIE
Auteur principal
* Lumières sur le comte de Chambord - Le témoignage inédit du Père Bole, confesseur du Prince en exil (avec une préface de Hervé Pinoteau), éditions Communication et Tradition, Paris, 1995, 247 p. (ISBN 2-911029-00-3) ;
* Le Mystère du Temple - La vraie mort de Louis XVII, éditions Claire Vigne, coll. « Aux sources de l'Histoire », Paris, 1996, 364 p. (ISBN 2-84193-028-9) ;
* Miracle ou imposture ? L'histoire interdite du suaire de Turin, co-édition EPO (Bruxelles) et Golias (Lyon), 1999, 271 p. + 8 p. de planches illustrées, (ISBN 2-87262-152-0) (EPO) et (ISBN 2-911453-53-0) (Golias) ;
* L'Histoire dans tous ses états. Idées fausses, erreurs et mensonges d'Abraham à Kennedy, Book-e-book.com, coll. « Zététique », Valbonne, 2003, 274 p. (ISBN 2-915312-03-6) ;
* Les Dessous du surnaturel - Dix ans d'enquêtes zététiques, éditions Book-e-book.com, coll. « Zététique », Valbonne, 2004, 171 p. (ISBN 2-915312-04-4) ;
* Le Secret du Suaire - Autopsie d'une escroquerie, éditions Pygmalion, Paris, 2006, 235 p. + 4 p. de planches illustrées (ISBN 978-2-7564-0063-1) ;
* Les Malveillantes - Enquête sur le cas Jonathan Littell, éditions Scali, Paris, 2006, 124 p. (ISBN 978-2-35012-105-5) ;
* Le Monde contre soi - Anthologie des propos contre les Juifs, le judaïsme et le sionisme (avec une préface de Yann Moix), éditions Blanche, Paris, 2007, 318 p. (ISBN 978-2-7556-0156-5) ;
* Sarkozy, Israël et les juifs, Éditions Oser dire (Marco Pietteur), Embourg (Belgique), 2009, 207 p. (ISBN 2-919937-12-X) - traduit en arabe et en persan.
* Jean-Marie, Marine et les juifs, Éditions Oser dire (Marco Pietteur), Embourg (Belgique), 2014.
* Le Livre noir des manipulations historiques, Fiat Lux (France), 2017, 432 p.
* Nietzsche et Venise - Guide initiatique, Fiat Lux (France), 2017, 124 p.
* Le Livre noir des manipulations historiques, Fiat Lux (France), 2017, 432 p.
* Nietzsche et Venise - Guide initiatique, Fiat Lux (France), 2017, 124 p.
Coauteur
* Paul-Éric Blanrue et Chris Laffaille, Carla et Nicolas - Chronique d'une liaison dangereuse, éditions Scali, Paris, 2008, 155 p. (ISBN 978-2-35012-234-2) - traduit en portugais ;
* Paul-Éric Blanrue et Chris Laffaille, Le Joueur - Jérôme Kerviel, seul contre tous, éditions Scali, Paris, 2008, 150 p. (ISBN 978-2-35012-247-2).
Préfacier et éditeur scientifique
* Souvenirs de Marie-Thérèse de France, duchesse d'Angoulême : 5 octobre 1789-8 juin 1795 (établissement du texte, préface et notes de Paul-Éric Blanrue), éditions Communication et Tradition, coll. « Archives des Bourbons » n°6, Paris, 1997, 120 p. (ISBN 2-911029-11-9) ;
Préfacier
* Salim Laïbi, Le Mythomane - La Face cachée d'Alain Soral, Fiat Lux, 2015 ;
Postfacier
* Gabriel et Pierre Domenech (avec une postface de Paul-Éric Blanrue), Dominici : et si c'était bien lui ?, Presses du Midi, Toulon, 2004, 616 p. (ISBN 2-87867-543-6) ;
* Chris Laffaille (en collaboration avec Paul-Éric Blanrue), Diana : l'enquête jamais publiée, éditions Scali, Paris, 2007, 274 p. (ISBN 978-2-35012-163-5) ;
* Chris Laffaille (en collaboration avec Paul-Éric Blanrue), Aux Portes de l'enfer - L'inavouable vérité sur le juge Borrel, éditions Scali, Paris, 2008, 334 p. (ISBN 978-2-35012-203-8) ;
* Minko Balkanski, Sofia-Paris, un aller simple (avec la collaboration de Paul-Éric Blanrue, un avant-propos de Julu Jelev et une préface de Dimitri Panitza), éditions Scali, Paris, 2007, 223 p. (ISBN 978-2-35012-121-5) ;
Œuvres collectives
* (Collectif) L'Affaire Zannini (l'ouvrage comportait un bandeau rouge : « Tout sur le roman de Marc-Édouard Nabe »), éditions du Rocher, Monaco et Paris, 2003, 256 p. (ISBN 2-268-04596-X) ;
* (sous la direction de Michel Collon, Aurore Van Opstal, Abdellah Boudami), Israël, parlons-en !, Investig'Action-Couleurs livres, Bruxelles, avril 2010, 348 p. Entretiens avec Noam Chomsky, Tariq Ramadan, Alain Gresh, Shlomo Sand, Jean Bricmont, Ilan Pappe, Michel Warschawski, Ilan Halevi, Paul-Eric Blanrue, Denis Sieffert, Christina Zacharia, Naseer Aruri, Virginia Tilley, Samia Botmeh, Ahmed Frassini, Hanan Wakeem, Saleem Albeik, Mohamed Al Hawajri... ;
* (présenté par Philippe Delorme et François Billaut),Secrets historiques et grandes énigmes (« Un siècle de sindonologie », p. 82 ; « Jeanne d'Arc était-elle une bâtarde d'Isabeau de Bavière ? », p. 110), Point de vue - Express Roularta Éditions, Paris, juin 2010. Republié chez Omnibus, collection de poche bibliomnibus en collaboration avec L'DExpress, octobre 2014.
* (collectif) Les Grandes énigmes de l'archéologie, Sophia Publications Historia, juin 2013.
FILMOGRAPHIE
* Un Homme - Robert Faurisson répond aux questions de Paul-Éric Blanrue, documentaire d'1h30 diffusé sur le Web en 2011.
* Rwanda, 20 ans après. Avec Julien Teil. 2014.
* La France maçonnique (Apocalypse France, saison 1). Avec Julien Teil. 2015.
FILMOGRAPHIE
* Un Homme - Robert Faurisson répond aux questions de Paul-Éric Blanrue, documentaire d'1h30 diffusé sur le Web en 2011.
* Rwanda, 20 ans après. Avec Julien Teil. 2014.
* La France maçonnique (Apocalypse France, saison 1). Avec Julien Teil. 2015.