Selon la CIA, Ben Laden lisait Les Secrets de la Réserve fédérale
d'Eustace Mullins (1923-2010), un livre d'investigation écrit sur les conseils du "titan de la poésie
du XXe siècle", le Vénitien de la Calle Querini Ezra Pound, alors qu'il était incarcéré
aux États-Unis, dans l'asile d'aliénés du St. Elizabeths Hospital, pour fait de collaboration avec l'Italie mussolinienne. Mullins
était un fervent révisionniste, chose tout à fait
scandaleuse et peu connue en France ; mais son livre, brûlé en autodafé par une décision de la justice allemande après 1945, est singulièrement roboratif et a été rédigé dans le réjouissant esprit anti-usuraire de l'auteur des Cantos. Je vous le recommande dans sa version française préfacée par Michel Drac. On y apprend que la Réserve ne possède guère de réserves et n'est nullement fédérale car appartenant à des banques commerciales, c'est-à-dire à des fonds privés n'ayant que faire de l'intérêt général. On ne dira jamais assez que la guerre occulte passe par la subversion sémantique.
Oussama parcourait aussi les oeuvres de Michel Chossudovsky, rédacteur au Monde diplomatique et directeur de mondialisation.ca, classé parmi les sites conspirationnistes par des amis d'Israël comme notre collègue Rudy, chasseur de mythes et mythe à lui tout seul, un type au fond très naïf et qui fait la promotion de livres édités par Henri Broch, ce qui m'amuse toujours pour des raisons que je ne parviens pas à m'expliquer mais qui s'éclairciront peut-être un jour.
Notre ami Jean Bricmont, qui n'est pas conspirationniste et encore moins négationniste, découvrira avec plaisir ou stupeur que le Sheikh s'intéressait de près à son héros Noam Chomsky dont il possédait plusieurs ouvrages.
On s'aperçoit aussi, chose surprenante, que Ben Laden consultait les oeuvres de théoriciens du complot spécialisés dans le 911 comme David Ray Griffin. Pourquoi ? Mystère et boule de goym. Chacun aura sans doute remarqué que la disparition subite de Ben Laden correspond à la montée en puissance de Daesh, instrumentalité (comme on dit) par les États-Unis pour le plus grand bénéfice d'Israël. Comme je le disais récemment à Yann Moix : on n'est jamais trop prudent.
Bien sûr, puisque ces informations proviennent de la CIA, nul n'est obligé d'y croire. N'allez pas, tout de même, tomber dans le conspirationnisme de bas étage.
Oussama parcourait aussi les oeuvres de Michel Chossudovsky, rédacteur au Monde diplomatique et directeur de mondialisation.ca, classé parmi les sites conspirationnistes par des amis d'Israël comme notre collègue Rudy, chasseur de mythes et mythe à lui tout seul, un type au fond très naïf et qui fait la promotion de livres édités par Henri Broch, ce qui m'amuse toujours pour des raisons que je ne parviens pas à m'expliquer mais qui s'éclairciront peut-être un jour.
Notre ami Jean Bricmont, qui n'est pas conspirationniste et encore moins négationniste, découvrira avec plaisir ou stupeur que le Sheikh s'intéressait de près à son héros Noam Chomsky dont il possédait plusieurs ouvrages.
On s'aperçoit aussi, chose surprenante, que Ben Laden consultait les oeuvres de théoriciens du complot spécialisés dans le 911 comme David Ray Griffin. Pourquoi ? Mystère et boule de goym. Chacun aura sans doute remarqué que la disparition subite de Ben Laden correspond à la montée en puissance de Daesh, instrumentalité (comme on dit) par les États-Unis pour le plus grand bénéfice d'Israël. Comme je le disais récemment à Yann Moix : on n'est jamais trop prudent.
Bien sûr, puisque ces informations proviennent de la CIA, nul n'est obligé d'y croire. N'allez pas, tout de même, tomber dans le conspirationnisme de bas étage.
En tout cas voici la liste des ouvrages censés
figurer dans la bibliothèque numérique du révolutionnaire saoudien : https://www.scribd.com/fullscreen/265942695?access_key=key-nJeYpV8ToQ4hhYT02sqf&allow_share=true&escape=false&view_mode=scroll
Paul-Éric Blanrue