Une étude de plus, portant cette fois sur 15 à 17 millions de personnes : "Aucune preuve que les confinements ont conduit à une réduction de nouveaux cas ou des décès".(https://www.pnas.org/content/118/15/e2019706118)
Il s'agit de la trente-deuxième étude démontrant que le confinement et autres couvre-feux n'ont eu absolument aucun effet positif sur la diffusion de l'épidémie ni sur les décès.
Ce qui est confirmé, si besoin était, par la dernière étude du Pr Ioannidis et ses collègues, qui concluent à propos des confinements : "Compte tenu de leurs nombreux préjudices à la santé et à la société, la littérature existante ne fournit pas un soutien solide pour leur efficacité à réduire la propagation des cas." Et aussi : "En mars 2021, les taux de mortalité les + élevés se produisent dans les pays utilisant des mesures prolongées et très restrictives, tandis que les taux de mortalité les plus bas se produisent dans des pays avec des réponses plus diverses." (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/pdf/10.1111/eci.13553)
Le confinement n'est pas une méthode sanitaire, mais policière, qui détruit la liberté au lieu de tuer le virus.
Heureusement, tout le monde n'est pas encore pris dans les rets de la dictature sanitaire. Il fait beau, on sort, on danse, on rit, on drague, et même on s'embrasse, réjouissances simples que les vieux culs qui se prennent pour les nouveaux rois de France aimeraient bien que le peuple oublie.
Pas davantage que les jeunes Français, les jeunes du monde n'attendent l'autorisation de sortie de l'amer Hamon ou la permission de marcher de la grande gueule Deray. Le masquisme-léninisme sent le renfermé. Avec le printemps, la jeunesse va aérer l'atmosphère et rendre le confinement impossible !
Paul-Eric Blanrue