EUROPE 1 : "Sur les 1,3 million de demandeurs d’asile enregistrés en Allemagne
depuis 2015, seuls 17% déclarent avoir fréquenté un établissement
d’enseignement supérieur (donc moins d’un sur cinq), et la majorité, en
réalité, n’a pas dépassé le collège. Les médecins, les ingénieurs, sont
très minoritaires, moins de 2% du total. Les migrants syriens, souvent
plus diplômés, ne trouvent pas davantage de travail : selon les derniers
chiffres des autorités allemandes, 69.300 Syriens occupent un vrai travail en Allemagne (soumis à cotisations), donc un Syrien sur 7.
85% d’entre eux, pour vivre, DÉPENDENT DE L'AIDE SOCIALE.
Et c’est la réalité que découvrent les Allemands : l’intégration est
particulièrement difficile pour les réfugiés, EN DÉPIT des programmes de
formation, des aides mises en place.
Seuls 150.000 réfugiés
originaires des huit principaux pays producteurs d’asile ont trouvé un
emploi stable depuis 2015... L’Allemagne, qui prévoit de consacrer 13
MILLIARDS d’euros à des cours de langues et des formations pour les
migrants d’ici 2022."
La crise migratoire c'est d'abord la crise de l'État-providence qui fait les proches aux uns pour donner aux autres (sans AUCUN résultat).