Voici une interview EXCLUSIVE du chercheur israélien Nissim Amzallag de l'Université de Beer-Sheba,
qui a transmis à Paul-Éric Blanrue les numéros d'USHOAHIA impossibles à se procurer en
France depuis plus de 20 ans.
Il a récemment porté l'affaire
auprès de l’Observatoire de l’antisémitisme israélien, qui dépend du
ministère chargé des relations avec les communautés juives du monde, et a
alerté deux Instituts de recherche sur l’antisémitisme contemporain :
l’Institut Kantor de l'Université de Tel Aviv et l’Institut Vidal Sassoon de l'Université hébraïque de Jérusalem.
"Nous sommes confrontés à une véritable soûlerie du sang, une joie, un délire pogromiste", déclare-t-il.
Il fustige les réseaux de BHL et le gang d'Hanouna, et décrypte l'affaire, vue d'Israël.
"La connivence, le soutien dont bénéficie Yann Moix de la part de
certaines personnalités de la communauté juive, je trouve cela
extrêmement grave ! Si une figure juive de la lutte contre
l’antisémitisme telle que Bernard-Henri Lévy - ou d’autres car il n’est
pas le seul - pardonne à Yann Moix et considère que "Ushoahia" n’est
qu’une erreur de jeunesse, c’est inventer une forme "d’antisémitisme
casher" ! Autrement dit : à partir du moment où un antisémite - ou
quelqu’un que l’on est en droit de suspecter de l’être encore -
demande pardon et défend Israël, son antisémitisme devient-il
acceptable, tolérable ? BHL et ses complices sont en train d’inventer
une nouvelle procédure d’acquittement moral où il suffirait d’exécuter
quelques pirouettes contrites et judéophiles pour se faire exonérer
d’avoir eu - ou d’avoir encore - l’âme d’un monstre ! C’est inacceptable
!"
Du lourd, dirait Naulleau ! Du très très lourd...