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vendredi 15 mars 2019

L'immigration et nous.


"Tout individu a le droit d’offrir ses services à l’étranger. Ce même individu a-t-il toutefois le droit moral d'obliger les gens du pays où il veut se rendre de l’accueillir, de l’engager et de les contraindre à pourvoir à ses besoins ? Bien sûr que non. On a le droit absolu de choisir avec qui l’on veut cohabiter sur sa propriété. La liberté de se mouvoir d'un migrant ne peut en aucun cas être supérieure à la liberté qu'a l'autochtone de consentir à l'accueillir et à couvrir ses frais.
En vertu du droit naturel une aide doit être un acte bénévole, consenti, volontaire, et certainement pas une obligation imposée par l'État ou un lobby. Si je veux contribuer à aider certaines personnes en difficulté, j'ai le droit de les choisir et non de les subir. Ce n'est pas à l'État de me dire qui je dois soutenir. 
Dans le cas des migrations actuelles, mon aide est rendue obligatoire par le seul fait que les immigrés bénéficient de l'argent public et d'infrastructures provenant de l'argent public qui n'est rien d'autre que l'argent de tous les contribuables privés, distribué sans leur consentement. 
Si l'on entend défendre la liberté dans un sens (celui du migrant dans son pays de départ), il faut accepter la liberté dans l'autre sens (celui de l'autochtone dans le pays d'arrivée)."


Paul-Éric Blanrue, Sécession. L'art de désobéir

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