Antivax ? Non : anti-passe !

Le problème n'est pas d'être pour ou contre la vaccination. Chacun a le droit de faire ce qu'il veut de son corps. Le problème c'est le vaccin rendu obligatoire par l'Etat, ainsi que le passe sanitaire, avec l'abolition de la liberté individuelle qui va de pair. Comme le dit Hoppe : "L’État, supposé nous protéger, nous a rendu, en réalité, totalement impuissants. Il a perverti le sens public de la justice et de la responsabilité personnelle et a engendré et attiré un nombre croissant de monstres et de monstruosités morales et économiques."

En vérité tout esprit éclairé sait que le Covid réserve ses dangers aux personnes âgées et malades, groupe dont les membres peuvent prendre des mesures pour se protéger sans obliger la grande majorité de l'humanité, dont très peu sont réellement menacés, à suspendre et bouleverser leur vie. Par ailleurs, penser que la certification Covid est une mesure temporaire est une funeste erreur. Il existe un modèle pour ce qui nous attend si nous ne résistons pas aux passeports vaccinaux et aux cartes d'identité électroniques : le système de crédit social de la Chine.

Oui, décidément, comme Hoppe le dit encore : "L'État est une institution dirigée par un gang d'assassins, de pillards, de voleurs entourés de bourreaux, de propagandistes, de sycophantes, de trafiquants, de menteurs, de clowns, de charlatans, de dupes et d'idiots utiles. Il salit et pourrit tout ce qu'il touche."

C'est la guerre.

Conseil d'ami : "Une armée doit être preste comme le vent, majestueuse comme la forêt, dévorante comme la flamme, inébranlable comme la montagne. Insaisissable comme une ombre, elle frappe avec la soudaineté de la foudre." (Sun Tsu)

Et encore : "Passe à travers la vie sans violence, l'âme pleine de joie, même si tous les hommes poussent contre toi des clameurs. Qui empêche ta pensée de conserver sa sérénité, de porter un jugement vrai sur ce qui se passe autour de toi?" (Marc Aurèle)

Sachant que "ce sont les paroles les plus silencieuses qui apportent la tempête"(Nietzsche), je laisse provisoirement (oh, très provisoirement) les hommes du torrent dans le tumulte. J'ai certaines cascades clandestines en tête.

Paul-Eric Blanrue